A la pêche aux moules, moules, mouleuh, je veux plus y aller maman
Maxence adorait découvrir de nouvelles personnes, pas qu'il soit social. Il ne serait jamais quelqu'un d'entouré. Préférant la solitude qu'il avait malgré lui. Plus calme. Mais comme tout spectre. Il restait humain, les liens sociaux étaient important pour l'humanité. Les refuser complètement serait stupide de sa part. Si ces derniers pouvaient l'énerver, d'autres, il les appréciaient. La demoiselle n'avait pas hurler devant l'intervention du poisson qui avait laissé une belle traînée derrière son passage sur les pages d'un ouvrage en anglais. Il récupérait son poisson avec un sourire. Il pouffait face à son ton neutre, presque froid. Puis elle le regardais, enfin plus la canne, mais elle le regardait, ses yeux ayant deux teintes, comme les siens. Il souriait. Elle parlait d'une voix qui pourrait geler l’Antarctique.
«
Un peu des deux, J'avoue mon crime gente demoiselle. Je voulais tester la pêche. Forcé de constaté qu'en effet, je ne suis très doué dans cet exercice. On pourra pas me reprocher de ne pas avoir testé. Désolé pour le livre. Je crois que j'ai une partie du repas de ce soir. C'est sympa. Vous lisez quoi en fait ? J'ai vu vaguement un mot en anglais, mais pas plus. »
Il jouait le bon gars, histoire de voir comment elle serait. Il adorait voir les gens réagir à son vrai lui. Jouer la comédie était une seconde nature. Même s'il était plus naturel depuis qu'il était mort. Puis, il n'y avait pas de mal d'être un peu gentil. Bien sûr, il aurait pu rire sue la destination du poisson.
«
Si tu voulais être entre des feuilles de journal, tu as mal choisi ton pêcher ami nageur des eaux douce. Par contre j'ai un seau qui n'attend que toi. »
Ni une , ni deux, il allait chercher son seau qui était d'un banal à pleurer, c'était un achat qui personnaliserait plus tard. Comme son clavier qui était normal à l'origine. Il regardat la jeune femme.
«
Vous savez pêcher ? »
Maxence n'avait plus aucune idée préconçue sur les femmes. Même si le jeune homme avait été élevé dans une société patriarcale. Être ici, c'est une à une les ides préconçue démolies. Il souriait, il savait qu'il avait une chance de se manger une veste de la part demoiselle. Il pourrait se brosser pour parler plus avec cette inconnue et en savoir plus sur elle. La curiosité était un vilain défaut qu'il avait, malheureusement.