Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.
起死回生
La petite
ritournelle
Quand Urie prend un verre sur la table:
Pile : Il se trompe de verre
Face : il prend le bon verre
S'il se trompe (pile) :
Pile : Il s'en rend compte inextrémiste
Face : Ne s'en rend compte que trop tard
Edit : Les dés sont nazes, j'confirme
La petite
ritournelle
Elle :
1 : Reste au bar en les fixant (dans sa jalousie, elle aussi elle veut qu'on lui gratte la barbe)
2 : Elle s'approche de la table et reste debout en tapant un scandale à Eden en occultant totalement Urie
3 : Elle s'approche de la table et s'assoit en face d'eux (malaiiiiise)
4 : Elle s'approche de la table mais se fait stopper par un groupe de groupies, laissant le temps à Urie de se carapater.
Est-ce qu'elle reconnait Urie (si 2, 3 ou 4)
Face : Oui
Pile : Non
Edit : Ultra méga supra nazes.
La petite
ritournelle
Je ne parle pas de la façon dont le sang est ramené dans le monde des morts Eden. Je te parle de la façon dont il est collecté sur la source. Tu fais chier, à chaque fois que je te pose une question t’as l’art de répondre à côté de la plaque. Et à force je ne me formalise plus avec tes expressions -au passage peu variées-, à quoi penses-tu quand tu me fixes en fronçant les sourcils hein? Est-c’que par hasard dans ta cervelle quelque chose se passe, sur quel sujet débats-tu intérieurement, allez, dis-moi. J’ai comme la putain d’impression que ça te tracasse depuis un moment maintenant. Mais je n’arrive pas à foutre le doigt dessus. On en reparlera, ou pas.
A présent la situation a changée, je m’en balance clairement de ce qui traverse le crâne de qui que ce soit, mon obsession est tournée sur cette inconnue, enfin, une inconnue… Je crois qu’après qu’elle ait joué avec mes membres et se soit vautrée dans mon sang ça a créé quelques liens. Chaque centimètre de ma peau et de mon être sont parcourus par des pulsions meurtrières que je contiens tant bien que mal. Je suis du style revanchard, ça je crois que même lui l’a compris avec ce que je lui avais collé sur la tronche. Ça explique un peu toutes les possibilités que j’énumère dans ma tête, je vais la faire morfler cent fois plus que ce qu’elle m’a fait subir. Et je sais comment m’occuper de cela. Quand on les aura tous récupérés ça risque d’être particulièrement festif pour eux.
Nous sommes dans un bar ouais, mais à contrario de toi moi je n’ai pas envie que ma tête y soit fichée comme celle du « gars qui traîne avec Eden Indentshi », ne m’affiliez pas avec un con pareil. Ne faites pas de conclusions hâtive. Je l’ai déjà dit, j’aime la discrétion et s’il m’était possible de me fondre dans un mur je l’aurais déjà fait. L’anonymat fait partie de mon mode de vie, ou plutôt de mon travail qui a pris le pas sur le reste. Je le fixe du coin de l’oeil le temps qu’il regarde cette connasse, même un impassible blasé comme lui laisse passer des informations avec sa tronche. C’est pas énorme mais carrément suffisant pour que je tique. Y’a un truc, un putain de truc. Je le sens à des kilomètres. Il la regarde trop longtemps, pourquoi il bloque? Y’a quelque chose, car toutes les personnalités de ce type on l’air de débattre toutes en même temps lors d’une réunion de crise.
Trop obnubilé je reste malléable, il m’attire contre lui et je suis le mouvement sans grande résistance. Je suis enveloppé par ce mec, ouais je l’avoue, si ce mec tend les bras il te couvre un terrain de tennis j’en suis sûr, alors mes épaules vous pensez. Je suis pendu à ses lèvres lorsqu’enfin il me file le début d’un scénario. MAIS PUTAIN. Bien sûr qu’on va la kidnapper, hors de question que je la laisse repartir, t’as cru quoi? Ma patience a des limites car pour le peu que j’en avais de mon vivant, là j’en ai clairement plus. Et je suis d’avis qu’il le sait, que je suis en train de bouillir de l’intérieur et sur le point d’exploser. De part la position mon torse et appuyé contre le sien. Dans ma poitrine mon coeur bat à tout rompre, est-ce pour cela que tu t’amuses à jouer avec la souplesse inexistante de ma clavicule?
Si jusque là mon visage était dissimulé pour ne pas être reconnu, à présent il vaut carrément mieux que je reste ainsi. Le stoïcisme laisse les gens dans le doute quant à mon humeur, mais là je suis traversé par les pires idées du monde. Je sais déjà ce que je veux faire. Et tu me confirmes que mon idée va être possible puisque tu la connais. J’en aurais bien jubilé d’avance mais tu me stoppes déjà mon élan.
Attend, pause. Tu m’as appelé par mon prénom? Putain ça craint. T’as l’air sérieux soudainement. Merde, t’es qu’un connard. Ou plutôt tu sais vers quoi tout ça va mener et tu préfèrerais éviter de me voir te claquer entre les doigts.
Les doigts sur ma clavicule m’offrent une douleur diffuse, en réponse les miens glissent le long de son menton. Mon index et mon majeur rencontrent sa barbe hirsute. Une fois arrivés à l’arrondis de sa mâchoire mon pouce se plaque sur sa pommette, tu sais, celle sur laquelle j’ai frappé cette aprèm’. J’appuie ma paume contre sa joue pour lui faire pencher d’avantage la tête vers moi et peut-être raviver la douleur de la partie saillante de sa joue. J’ai une quinzaine de centimètres qui me séparent de son oreille, pourquoi ça serait moi qui devrait m’agiter pour l’atteindre.
Un élan de passion aux yeux externes, rincez-vous l’oeil si ça vous éclate bande d’enfoirés. Je crois que je n’assumerai aucun des mouvements que j’ai fait ce soir si on devait en reparler.
« Arrête de me prendre pour un débile Eden. La laisser partir alors que tu la connais et que tout le monde te lèche les bottes depuis l’arrivée, c’est hors de question. »
J’appuie sur les syllabes de « hors de question ». Je pense que tu l’as compris de toute façon, il est trop tard pour espérer que je fasse marche arrière. Je relâche ma main droite de sa joue et attrape mon verre qui est sur la table, j’ai la gorge sèche alors je bois une, deux puis trois gorgées avant de le reposer. Le peu d’espace que ça nous redonne me rappelle à quel point on est collés là. Merde, ça doit jaser dans toute la salle mais je n’ose pas me retourner et je dois expliquer ce que j’ai en tête. Au pire les groupies d’Eden traiteront directement avec lui si elles ont des réclamations, là je n’en ai rien à battre.
« Elle te fixe depuis qu’elle est au bar. Qui résisterait à ton charme de connard hein? Tu l’invites à faire un tour dehors pour discuter, je suis sûr que t’as un panel de sujets illimités, au pire ferme-la et fais-lui croire qu’elle a un ticket. On l’isole dans un endroit peinard on la calme et on l’embarque. »
Je rejette un oeil à cette fille, elle n’a pas bougé du comptoir et elle nous fixe clairement. Étrangement j’ai l’impression qu’elle est en train de foutre sa misère à Eden par la seule force de sa pensée. Je relève la tête pour faire face au brun en plissant les yeux.
« Mec qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’elle te fixe comme ça, on dirait qu’elle veut me crever une seconde fois et toi avec… Oh putain le con. »
Simplement, juste en lui lançant ma phrase à haute voix je comprends l’ampleur du bordel. Ce mec… Putain. Bordel de. NAN. Je souffle mes injures dans quelques murmures. S’il n’avait pas fallu être discret je lui aurais probablement foutu un autre poing dans la tronche. Pourtant j’en crève d’envie mais relativise bien vite. Est-ce que ce gars avec sa gueule serait capable d’aller essuyer les plâtres avec une ancienne conquête alors qu’on est collé là sous ses yeux comme deux putains de mecs en rut? Je crois que ça se solderait par un peu de violence, mais s’il se démerde bien. Plus je réfléchis et moins ce merdier me semble réel.
Tout me semble partir en couilles, de nouvelles questions s’imposent et c’est le bordel. Je le fusille du regard, je crois que si je pouvais dégueuler ma haine elle suinterait par tous les pores de ma peau.
« Démerde-toi avec ton putain de merdier. On ne repart pas d’ici sans elle. »
C’est à peu près tout ce dont je suis capable d’articuler entre mes dents. Ma main droite est venue attraper la sienne, mes doigts se sont immiscés entre ses phalanges, se plaçant chacun contre la jointure qui relie chaque doigt. J’appuie sur le dessus de sa main, là où les os et les nerfs roulent puis force un peu sur son poignet. J’ai des manières bien à moi de faire passer un énervement, si mon souffle est court il se calme en quelques secondes. Je prends une grande inspiration en fermant les yeux, puis les rouvre et lui adresse mon plus beau sourire en lâchant tout haut.
« C’est compris, chéri? »
J’avoue, mon comportement contraste un peu car sous mes doigts roulent sa peau par-dessus ses nerfs. La sensation est plutôt amusante, pour moi. Cette fille va morfler. Ce soir. Il n’y a aucun doute là-dessus alors je relâche sa main et lui tapote sur le torse, comme pour lui dire « à toi de jouer mon grand ». Je laisse à Eden le choix quant à la façon d’agir, le but étant qu’il arrive à la faire grimper dans sa bagnole et que je les rejoigne ensuite. Comment il lui fait avaler ça? J’ai quelques idées mais j’attends de voir ce qu’il va faire. Je suis sûr que ce gars est plein de surprises.
1. Fan de Yaoi gout framboise
2. Violence-ship parfum violette
3. Fan de Yaoi gout citron
4. L'ignorance parfum vanille
5. Immonde et délectable saveur de fraise
6. Tous les parfums
1. Retrouvailles sages
2. Retrouvailles tendres (... gueuh.)
3. Retrouvailles froides
4. Retrouvailles violentes (haha!)
5. A quoi bon attendre la voiture ? (--')
6. Tout ça, tout ça, tout ça
1. Une groupie vient parler à Urie histoire d'en apprendre plus
2. Un type taquin ou ennemi vient faire chier Urie qui vient d'être lâché "alors, on est quitté par son mec ?"
3. ELLE VOIT URIE ET LE RECONNAIT
4. La serveuse demande à Urie de payer les consomations
5. Un type vient juste devant Urie pour le snapper en ricanant
6. Un type renverse sa chope de sang sur Urie
Son corps se crispe et se durcit contre moi, sa main enlaçant la mienne et la douleur m’irradie. J’ai bel et bien envie d’aller le dégommer pour lui apprendre la vie. Il commence un peu trop à se sentir à la maison avec moi. A la vitesse où vont les choses, il va bientôt tenter de me faire des tresses et de me mettre une tenue de soubrette – va vite falloir que je lui rappelle que celui qui s’est agenouillé devant l’autre, ce n’est pas moi ! Je n’ai aucune envie de le dresser, j’aime les animaux sauvages – mais s’il continue de confondre mon corps avec une boule anti-stress, je risque de confondre sa tête avec un punching-ball.
La petite
ritournelle
Avant de sortir :
Pile : Urie reçoit un message d'Eden pour lui dire qu'il peut les rejoindre pour un plan à trois -wtf-
Face : Urie sort pour voir où ils en sont sans aucun signal
La serveuse lui dit qu'il faut payer :
Pile : Il lui dit de mettre ça sur la note d'Eden -le faire payer par tous les moyens-
Face : Il paie les consommations.
Elle reconnaît Urie ou pas alors cette conne:
Pile : Oui
Face : Non
Si oui, elle :
1 : A envie de s'enjailler et trouve ça super fun de retomber sur son ami Urie (on s'est payé une sacrée tranche de rire avec toi la dernière fois qu'elle dit)
2 : Elle sent que quelque chose se trame et y'a un malaise
3 : Elle essaie de se casser le plus vite possible
4 : Elle saute à la gorge d'Urie
5 : Nan, elle préfère exploser la gueule d'Eden par rage
6 : Elle le reconnait mais vaguement, elle sait plus d'où.